Passé l’exubérance, le champagne en happy-hour et le flot de touristes, que reste-il de Saint-Germain ?
Au delà peut-être des traces littéraires – qui relèvent presque de l’archéologie tant elles semblent enfouies – ce qu’il reste et bien ce sont des gens riches. Tout simplement.
Des gens riches et qui vivent cachés ou coulent des jours paisibles en terrasse dans ce quartier à l’abri de la crise, avec sur ses murs tout de même, un peu du vomi identitaire qui, comme dans d’autres quartiers bourgeois de la capitale, on ne retient plus.